Congo Challenge à la 25ème session annuelle du comité intergouvernemental des hauts fonctionnaires et experts (ICSOE-25) du Bureau sous régional pour l’Afrique de l’Est de la Commission économique des Nations Unies pour l’Afrique (BSR –AE / UNECA).

Congo Challenge à la 25ème session annuelle du comité intergouvernemental des hauts fonctionnaires et experts (ICSOE-25) du Bureau sous régional pour l’Afrique de l’Est de la Commission économique des Nations Unies pour l’Afrique (BSR –AE / UNECA).
Placé sous le thème : renforcer la résilience pour favoriser une forte reprise et attirer des investissements afin de stimuler la diversification économique et à la croissance à long terme en Afrique de l’Est, Congo Challenge a pris part à la 25ème session annuelle du comité intergouvernemental des hauts fonctionnaires et experts (ICSOE-25) du Bureau sous régional pour l’Afrique de l’Est de la Commission économique des Nations Unies pour l’Afrique (BSR –AE / UNECA ) à Kigali, au Rwanda.


Représenté par son Directeur Gérant Michel-Ange Lokota Ilondo, son mot est intervenu dans la session 4, intitulée: « Les liens d’interdépendance entre les piliers de développement, paix et sécurité, droits humains et l’action humanitaire en Afrique de l’est ». Dans son argumentaire, Michel-Ange LOKOTA a évoqué la problématique de la faiblesse du Leadership et du manque de bonne gouvernance de dirigeants locaux, provinciaux et nationaux dans les zones minières qui alimentent l’insécurité et annihilent tous les efforts d’attraction des investissements et d’une croissance forte de long terme. Une intervention très appréciée et prisée par M. Fode Ndiaye, représentant résident des Nations Unies au Rwanda.
Aux côtés de Congo challenge, bien d’autres participants traditionnels y ont également pris part, notamment les hauts fonctionnaires des 14 pays et les experts des institutions et organisations nationales, sous régionales, régionales et internationales, ONG, think thank ainsi que la délégation congolaise composée de 6 personnes, dont 2 représentants du ministère des finances, 2 représentants du Ministère de l’industrie et une dirigeante d’une ONG